Douleur et fin de vie : implication médico-juridique - 23/10/13
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Le Président de la République a saisi le Comité consultatif national d’éthique pour les sciences de la vie et de la santé (CCNE) sur des questions concernant la fin de vie. Dans son avis no 121 « Fin de vie, autonomie de la personne, volonté de mourir », le Comité émet plusieurs recommandations et réfute toute idée d’assistance au suicide. Dans le même sens, la SFAP estime que la loi du 22 avril 2005 relative aux droits des patients et en fin de vie se doit d’être mieux connue. À cette fin, elle a rédigé de nombreux outils pour permettre tant aux patients qu’aux professionnels de santé de mieux la connaître et donc enfin de l’appliquer. La fin de vie ne doit pas être synonyme de souffrance a fortiori quand une loi permet de prendre en charge un patient et de respecter sa dignité. Les principales mesures de la loi du 22 avril 2005 sont le respect de la volonté du patient et la collégialité des décisions médicales.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Fin de vie, Collégialité de la décision, Expression de la volonté du patient, Opposabilité des directives anticipées
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Vol 14 - N° 5
P. 259-262 - octobre 2013 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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